Lever 5 h pour cette étape qui nous impressionnait ; départ de nuit et vu l'étroitesse des locaux, il valait mieux partir dans les premiers.
Comme prévu, nous nous sommes livrés dès le départ à un jeu de piste nocturne, mais sans gros problèmes, si ce n'est une montée dure.
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IRUN soleil levant |
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A pied ou .... |
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Les animaux en chemin ... |
Quelle récompense au sommet du sanctuaire de GUADALUPE de pouvoir admirer le lever de soleil sur la baie de IRUN HENDAYE et le détroit de la BIDASSOA.
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San Juan ou Pasai donibane |
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Premier bateau |
Nous avons continué sur un superbe chemin forestier ombragé par les châtaigner et quelquefois agrémenté d'eucalyptus à l'odeur subtile. Longue vadrouille sur cette colline de 500 m de hauteur où le chemin enchaînait longues montées douces et descentes agréables, mais ça ne devait pas durer, on le savait ......
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Ici Basques nous sommes. |
Passons sur la descente affreuse, mais sur un chemin bien entretenu, sur les 1000 et plus escaliers et tout çà pour arriver à une perle, (voire un diamant) : une toute petite cité nichée entre deux parois abruptes et laissant la place à un magnifique estuaire, d'où sortaient des voiliers (JY......) ; petit franchissement en bateau de l'estuaire : 0,60 € par personne puis arrêt à un petit café, ça faisait presque 5 h que nous marchions.
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San sebastian
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Pour repartir (attention routeur) nous avons décidé la sagesse urbaine, à la mélancolie bucolique de la nature, en clair San Sébastian à pied, mais en direct.
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Pas belle la vie ! |
Arrivés à 12h, recherche du gite réservé : un repaire de jeunes cools tous de moins de 30 ans avec la musique techno dans les oreilles (il nous manque le joint).
Sinon San Sebastian, station touristique énorme : à fuir ......
Mais c'est toujours 22 km de fait, voyons le positif, comme dirait St Bernard (il a du chien ce mec).
Félicitations à Fifi, nous avons discuté avec ce miraculé du naufrage, ou ce naufragé des voyages ?
Question du jour : Qui fut l' hôte très illustre de PASAI DONIBANE ?
Ne serait-ce pas notre Totor national qui y aurait séjourné ? C'est plus intellectuel que de dire qu'un certain Paco qui prédit la fin du monde y est né.
RépondreSupprimerA peine inscrit, je vais vous quitter quelque temps pour aller faire des ablutions hindouistes dans la Yamuna du côté de New Delhi. A chacun sa méthode de redemption !
Un nouveau Matthieu Ricard!!!!!
SupprimerAmi photographe, n'oubliez pas que votre ombre vous suit ou c'est selon, vous précède partout....
RépondreSupprimerQue l'ombre soit celle d'un photographe ou d'un âne, c'est toujours une ombre.
SupprimerOui je sais, JF va encore me dire que c'est pas un âne.
SupprimerOmbré, caramba !!!!!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerBon alors résumons : vous avez dépassé un sanctuaire en Guadeloupe et vous espérez atteindre Santiago ... je comprends mieux pourquoi vous rencontrez des naufragés, et aussi pourquoi votre mercredi dure 48 heures !
RépondreSupprimerPerdre la notion du temps, c'est faire un pas vers l'ÉTERNITÉ.
SupprimerPas tout de suite les gars.
A propos de cuisine rapide: une paella préparée en 5 minutes et cuite en 20.
RépondreSupprimerPfff ! Je fais mieux :
3 minutes pour cuire un œuf à la coque.
5 secondes pour gober un œuf (pas de préparation).
Question du jour : Qui fut l' hôte très illustre de PASAI DONIBANE ?
RépondreSupprimerRéponse : Le cousin de Marie-Claude.
On se croirait aux Grosses Têtes sur le chemin de Compostelle avec JF dans le rôle de Philippe BOUVARD
Et Philippe, membre de l’Académie GOOGLE dans le rôle de Jean DUTOURD
Respect Philippe !
Et nous autres ! Des figurants !
la mise en jambes avec les escaliers, c'est pas top, mais la vue compense à priori.
RépondreSupprimerUn escalier se monte par le bas et se descend par le haut
Supprimertotor gogo
RépondreSupprimerCa y est, fifille a travaillé, les cartes des trajets et des étapes (merci Bernard !) sont à jour, vous pouvez recevoir des alertes automatiques par mail (juste en inscrivant son adresse mail et en cliquant sur "submit" et les photos sont rangées ...
RépondreSupprimerBonne route et bisous.